Cargos du passé - Les Armateurs Français

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"BUCHERON" - "BERVILLE" ID No: 5213561

Navire du type "Gharb" construit au Chantier de Gironde, Bordeaux, France, 1921.

Livraison avril 1921.

Cargo 2 hélices, Bordeaux.

 

1921,

Lors de la liquidation de la flotte de l'Etat, acheté par le consortium des Armateurs Français, convention du 23 novembre 1921 entre l'Etat et la Société des Armateurs Français.

 

1922, Renommé "Berville" , Les Armateurs Français, attaché au port de Rouen.

 

1923,

Un vapeur français la côte

Londres 29 septembre. Le vapeur français "Berville", allant de Rouen à Newport s'est jeté à la cote sur des récifs. près de Coverack. (Ouest-Eclair, 1923-10-01).

 

1924,

Un vapeur français désemparé est pris en remorque.

Londres, 15 Janvier. Le vapeur français "Berville", venant de Caen, a été remorqué a Garston.

Désemparé par le mauvais temps, le "Berville" a eu sa timonerie endommagée et a perdu son hélice bâbord. (Ouest-Eclair, 1924-01-16).

TRIBUNAL MARITIME 30 août.

Le Tribunal maritime commercial de Saint-Malo s'est réuni hier après midi pour juger deux matelots prévenus de désertion.

Le premier, Charles Malgorn, d'Ouessant. avait laissé partir, le 24 aout dernier, le vapeur "Berville", sur lequel il était embarqué. Le Tribunal, en raison de ses antécédents, lui a accordé le sursis pour 8 jours de prison.

Le second marin poursuivi. François Tougue, Inscrit à Vannes, embarqué sur le vapeur "Charbonnier", a déclaré n'avoir pas été prévenu de l'heure du départ. Le Tribunal a prononcé son acquittement.  (Ouest-Eclair, 1924-09-01).

 

1925,

Le vapeur "Saint-Marc" se jette à la cote à Ouessant et coule. On repêche deux cadavres, neuf marins manquent à l'appel. Un autre navire est secouru par des remorqueurs

Brest. 14 août. - (de notre rédaction Brestoise).

Un dramatique naufrage a eu lieu ce matin vers 3 h 25.  Les vapeurs "Berville" et "Saint-Marc", qui venaient de Cardiff avec un chargement de 3.000 tonnes de charbon et se rendaient a Nantes, naviguaient dans les parages d'Ouessant quand, vers 3 h 30, la brume devenue très dense, ils dévièrent de leur route et allèrent se jeter sur l'île d'Ouessant.

L'un d'eux, le "Berville" ayant touché une roche, et faisant de l'eau sur l'avant, réussit à aller s'échouer sur les côtes de l'île, dans la baie du Stiff.

Il envoya un S.O.S. à la station d'Ouessant. Aussitôt le canot de sauvetage se porta au secours de l'équipage. Cependant celui-ci rentra a la station à 5 heures, le capitaine du "Berville" n'ayant pas besoin de son assistance, mais seulement de remorqueurs.

Les remorqueurs "Puissant" et "Orage", de la Compagnie l'Union Française Maritime, aussitôt prévenus par T. S. F. ont quitté Brest, et vers midi, ayant réussi à déséchouer le "Berville", l'ont pris à la remorque. Ils sont arrivés dans notre port dans la soirée.

L'équipage du "Berville" est sain et sauf. L'avant et le gouvernail du vapeur sont fortement avariés; il a perdu son hélice. (Ouest-Eclair, 1925-08-15).

Le "Berville" jauge 568 tonnes, et appartient à la société des Armateurs français; il est attaché au port de Rouen.

Le "Saint-Marc", du port de Nantes, jaugeait 1.343 tonnes et appartenait à la Société maritime auxiliaire de transports. Il était monté par 25 hommes d'équipage et commandé par le capitaine Le Bot de l'île d'Ars (Morbihan). ce navire avait été construit en 1912 à Nantes par les Chantiers de Bretagne.

 

1926,

UN GRAVE ACCIDENT AU PORT DE COMMERCE.

Dans la matinée de lundi, entre 9 heures et. 10 heures, on procédai: au déchargement en kaolin du steamer Berville du port de Rouen.

Par suite du glissement d'un des panneaux di- pont, le manœuvre François Kervalot 47 ans, domicilié rue Jules Simon, glissa. Pour l'empêcher de tomber au fond de la cale. le contremaître Eugène Kerdelhué chercha a le retenir, mais tous deux furent entraînes On les releva assez grièvement blessés et leur transport à l'hôpital Bodélio fut jugé nécessaire. (Ouest-Eclair, 1926-08-11).

 

1928, Les vapeurs à deux hélices "Berville", "Houlgate", "Neufchâtel" et "Quillebeuf", de 1.138 tx, qui faisaient partie de la flotte de la Société LES ARMATEURS FRANÇAIS, ont été vendus à des armateurs argentins. (Le Yacht, 1928/10/13 (VOL46,N2377)

 

1929, "Novillo". Vendu à Pan American Transportation Company, Argentina.

1937, "Novillo", Acheté aux enchères par la Société pour la navigation Mihanovich Argentina, Buenos Aires, Argentina.

1941, "Buzi", Cia Colonial de Navigaçao. Portuguese.

1941, "Novillo", Cia Argentina de Nav. Mihanovitch Ltda, Buenos Aires, Argentina.

1942, "Novillo", Cia. Argentina de Nav. Dodero S.A., Buenos Aires, Argentina.

1943,                 , vendu a Naviera Elanchove. (Argentina).

1951,                 , rénové en Motor/Vessel

1951, "Lucho V", José Peisci, Argentine.

1958,                  ,transformations, chantiers Astilleros Argentinos Río de La Plata S.A. (Astarsa)

 

Démoli Campana en septembre 1973.

Révision 2012-06-03

 

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